Logements modulaires

Les projets qui nous occupent font preuve de créativité, à défaut de respect de l’environnement.

Zones

Chaque projet est divisé en zones, pourvues d’un petit nombre de constructions, dont le promoteur nous assure qu’il n’augmentera pas.

Et pour cause : le concept implique la possibilité de louer chaque minichalet séparément, ou de louer toute une zone à la fois.

Flexibilité

Ce système permet une exploitation flexible : louer des chambres d’hôtel, ou louer un logement complet, composé d’un loft (pièces de vie) et de modules de chambres, avec dans certains cas une fonction « mirador » (oh que ce mot a des relents bizarres)

Le fait de devoir marcher quelques mètres pour aller et venir du module de vie aux modules dortoirs ne pose pas de problème – du temps de nos grand-mères, le WC était bien à l’extérieur…

Contourner les lois

On obtient ainsi de confortables habitations de 150 m² qui s’affranchissent, l’air de rien, des contraintes prévues par la loi pour les habitations classiques, telles que le PEB puisque chaque module reste sous la limite de 50 m² habitable, même si la combinaison est loin au-dessus, ou construire en zone forestière, en restant sous la limite des 60 m² (par module).

Pièces supplémentaires

Les mini-maisons sont déjà utilisées pour disposer d’une pièce supplémentaire dans le jardin : un bureau, un atelier ou un endroit pour accueillir des amis de indépendamment de l’habitation principale.

En savoir plus

L’ingénieuse modularité de ces hébergements étend des idées architecturales qui étaient dans l’air depuis quelques années:

Cette architecture modulaire rappelle les idées qui sous-tendaient la structure dispersée des hôpitaux pavillonnaires, où les différentes unités sont des constructions séparées.

Auteur/autrice : Traversée

Pierre Everaerts se transforme parfois en vieux saglé les nuits sans lune, garou à son caractère de cochon quand il bute contre des cubes artificiels au détour du chemin!

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